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Répression - prisons

[Loir-et-Cher] Angelo Garand assassiné chez ses parents par les gendarmes

Jeudi 30 mars, à Seur dans le Loir-et-Cher Angelo Garand a été assassiné chez ses parents où il vivait avec son fils. Il avait eu une permission et n'était pas rentré au centre de détention de Vivonne, près de Poitiers (Vienne). Sa famille s'interroge sur les conditions de l'intervention des gendarmes et du GIGN de Tours. Elle annonce qu'elle pourrait organiser des marches ou créer des groupes de soutien pour honorer la mémoire du défunt. Justice et vérité pour Angelo !

Répression - prisons

[Nantes] Défendons la caisse de soutien et toutes les pratiques de solidarités

Au mois de janvier et février 2017, les trois personnes titulaires du compte bancaire du comité de soutien aux inculpé.es (la caisse de solidarité de Nantes et de la zad) ont été convoquées par la gendarmerie dans le cadre d'une enquête ouverte par une juge d'instruction. Rdv le 8 avril à 14h, à la salle A de la Manufacture, arrêt de tram Manufacture ligne 1 à Nantes. Cette salle est accessible aux fauteuils roulants. Ne laissons pas l'État nous intimider, renforçons nos outils d'autodéfense ! Dans la continuité des réunions précédentes, n'hésitez pas à nous rejoindre.

Répression - prisons

Lettre d’Antonin, en détention provisoire depuis plus de 9 mois à Fleury-Mérogis

Le 18 mai 2016, une voiture de police est incendiée durant une manifestation sauvage partie place de la République. Avec plusieurs autres individus, Antonin est rapidement interpellé. Incarcéré depuis plus de 9 mois à la prison de Fleury-Mérogis, il a écrit une lettre depuis sa cellule dans laquelle il retrace chronologiquement son parcours à partir de son arrestation jusqu'à son placement en détention provisoire décidée par la cour d'appel de Paris, le 2 juin dernier. Publié sur le site prison-insider.com (site d'informations sur les prisons dans le monde), ce texte est le premier de la série des témoignages intitulée « Murs à part ». Quatre personnes dont Antonin sont aujourd'hui placées en détention provisoire au sujet de cette voiture de police incendiée au printemps 2016. D'autres individus sont également sous contrôle judiciaire.

Répression - prisons

Toutes les luttes mènent à Boboch’ (Tant qu’il y aura la Justice, il n’y aura pas de paix)

Tout y est : « Des banlieues à feu et à sang », « en ébullition », « la sécession de certains quartiers », « un risque de partition », et une dernière, en mode métaphore animalière : « les émeutiers marquent leur territoire »… La presse qui elle-même en avait un peu marre des affaires de pantins présidentiables se jette sur l’os et plonge la France dans l’angoisse avec son nouveau feuilleton policier. Objectif simple : ne surtout pas dire que ce qu’il se joue depuis le viol de Théo lors d’un « contrôle policier » est aussi, une remise en cause inédite de la justice.

Répression - prisons

Réforme « de la légitime défense » : un mauvais signe pour ceux qui luttent contre l’impunité policière

Cette semaine devant le Sénat était examinée la réforme de la « sécurité publique ». Cette loi répond à une veille revendication des syndicats policiers majoritaires. Elle vient ponctuer une période qui, depuis la mort de Rémi Fraisse en passant par celle d'Adama Traoré, a vu les violences et les crimes policiers devenir un sujet un peu moins confidentiel dans les médias. La Caisse de solidarité de Lyon propose sur rebellyon.info une analyse succincte.

Répression - prisons

[Nantes] L’État condamné pour un tir de LBD 40

Pierre Douillard est lycéen en 2007 quand il proteste contre la LRU. En manifestation à Nantes, Pierre D. reçoit en plein visage un projectile de LBD 40. Il perd l'usage de son œil droit. C’est le premier mutilé d’une longue série par cette arme, fraîchement mise en service. En 2012, sa plainte contre le policier auteur du tir aboutit à une relaxe. Néanmoins, le bras de fer continue et le 21 octobre dernier, le tribunal administratif de Nantes examinait un recours quasiment inédit qui vise mettre en cause la responsabilité de l’État dans les blessures provoquées par les flashballs. Un mois plus tard, le jugement est rendu et l'État est condamné. La dangerosité du LBD40 est reconnue par la justice. Analyse et réflexions sur les conclusions du jugement par Pierre Douillard.

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