antispécisme

Analyse et réflexion

Des droits pour les trans et les autres minorités sociales avant les animaux

Cette brève analyse fait suite à mon écoute du 77e podcast de Kiffe ta race qui m'a vraiment parlé. J'avoue que depuis des années de végétalisme, j'avais toujours ce sentiment de gêne en écoutant et militant avec des antispécistes. J'avais vraiment l'impression de perdre mon temps et d'être perdu par des discours qui s'essayaient au décolonialisme et à l’intersectionnalité, mais de façon presque perverse. C'est comme si on essayait de montrer aux minorités leur intérêt à adhérer à l'antispécisme. Je vais exposer ici pourquoi je pense que l'antispécisme ne peut pas parler à des classes et catégories sociales, tout simplement parce qu'on a pas votre temps.

À lire ailleurs

Lettre aux féministes, pour une solidarité interluttes avec l’antispécisme

Bien qu’on ne puisse exiger de l’ensemble des mouvements sociaux qu’ils priorisent la question du spécisme, on est en droit d’attendre une politique interluttes de non-nuisance. C’est à une telle solidarité passive qu’appelle cette lettre ouverte, envoyée par voie postale à une vingtaine de collectifs, personnalités et revues féministes francophones, et initialement publiée sur le site de L'Amorce, revue en ligne contre le spécisme (www.lamorce.co).

Analyse et réflexion

Antispécisme : qui a le plus à craindre de la « cancel culture » ?

En septembre 2020, paraissait dans la revue antispéciste L’Amorce une tribune « contre la culture de l’ostracisme » pour dénoncer « les dérives » des « social justice warriors ». Autrement dit, il s’agissait de discréditer les « wokes » et la « cancel culture » dans le milieu de la protection animale. Sous couvert de préserver un débat libre, il s’agit surtout de silencier celleux qui ont d’autres idées, approches, et parfois méthodes, que la vieille garde de l’antispécisme.

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