Analyse et réflexion Crise du coronavirus : le capitalisme tue. Éradiquons-le !
Deux mois de confinement. Notre patience est à bout et la colère envers ce système s'en mêle. Travailleuses, chômeurs, galériennes et exploités, nous n'avons pas chômé pendant ces mois d'assignation à résidence généralisée. Nous avons compris que le capitalisme tue plus que le virus, que sous prétexte d'état d'urgence sanitaire des mesures autoritaires et procapitalistes sont là pour nous exploiter davantage et tenter de nous faire courber l'échine. Mais comme pendant les mois de lutte Gilets jaunes, nous ne lâcherons rien. Des solidarités sont possibles et nécessaires, notre rage prendra de nouvelles formes de lutte et nous ferons tout pour ne pas revenir à la « normalité » d'avant.