A une période historique où s’affirment toutes les dominations et s’accroissent toutes les oppressions, nous avons plus que jamais besoin d’organisations collectives militantes. Pourtant, les exemples de reproduction des rapports de domination (de classe, de race et de genre) se multiplient au sein de ces cadres collectifs.
- Qu’est-ce qui motive les uns et les autres : la défense des opprimé-e-s ou la dénonciation des oppressions ?
- Que cache la posture de « défense des opprimé-e-s » quand ceux-ci/celles-ci n’ont pas voix au chapitre ?
- Comment se construit et fonctionne la confiscation de la parole des premier-ère-s concerné-e-s au sein des cadres militants ?
- Quels regards sur l’autonomie des luttes des racisé-e-s ?
Venez en débattre
le samedi 12 mars 2016 à 19h00
au café « Au Pavillon » situé au 54 Rue Gabriel Péri à Saint-Denis
Avec
Said Bouamama, militant du FUIQP,
Omar Slaouti, militant du Collectif Vérité et Justice pour Ali Ziri,
des militantes des Locs,
et Lord Eraze, slameur, pour un concert en fin de soirée