Partout, ceux qui ne veulent pas lâcher l’affaire se sont trouvés.
Nous voulons continuer la lutte.
A peine avions-nous abandonné les rues qu’ils nous vomissaient du burkini et du 49.3 en veux-tu en voilà.
A peine avions nous le dos tourné qu’ils envoyaient leurs hordes déloger nos camarades zadistes.
Alors Karnaj’valons dans les rues de nos villes embourgeoisées contre l’état d’urgence, contre la loi travail, contre le capitalisme... contre leur monde !
Et parce que tout le monde ne pourra pas se rendre à Notre-Dame-des-Landes le 8 octobre, Karnaj’valons en soutien à la ZAD ! L’expulsion n’aura pas lieu, 2017 non plus.
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