Un salarié en pleine déprime
En septembre 2009, un salarié en totale dérive du fait du comportement de sa manageuse envoie à certains élus (de plusieurs syndicats) un mail désespéré, laissant craindre un geste fatal. Deux élus partent à sa recherche, en vain. Avec la direction, ils informent la police, qui finira par retrouver le collègue chez lui, sous médicaments.
Le CHSCT Est vote à l’unanimité une enquête sur ce qui avait pu pousser le salarié à écrire ce mail désespéré. Aussitôt, la machine IBM se met en route pour bloquer l’action des élus du CHSCT. Ainsi IBM a refusé aux enquêteurs et à l’inspecteur du travail l’accès aux courriels du management qui auraient attesté le harcèlement.
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